La persécution des journalistes est perçue comme un indicateur de la dérive d'un gouvernement et/ou régime. Nombreux sont ceux qui ont péri dans l'exercice de leur métier du fait qu'ils ont pris l'engagement d'informer l'opinion publique. Face à la menace constante plusieurs organisations de défense des droits des journalistes ont vu le jours à l'échelle internationale et nationale.
En Haïti, l'on se souvient de quelques organisations non gouvernementales qui militent en faveur des droits de la presse, de la liberté d’expression et de la protection des journalistes : Reporters Sans Frontières RSF - Fédération Internationale des Journalistes FIN - Association des Journalistes Haïtiens AJH - SOS Journalistes - Association Nationale des Médias Haïtiens ANMH - etc.
Ces associations ont vu le jour en fonction des difficultés auxquelles font face les journalistes et les médias. Elles aident à renforcer le 4éme pouvoir que constitue la presse dans toute démocratie. Des journalistes ont marqué la lutte pour la liberté d'expression en Haïti : Jean Dominique - Lilianne Pierre Paul - Marvel Dandin - Pierre Clitandre - Anthony Pascal - Alix Joseph - François Latour - etc.
La liste des journalistes victimes n'a pas cessé de s'allonger : Vladjimir Legagneur - Rospide Pétion - Néhémie Joseph - Jacquelin François - Renald Petit Frère - Gerard Maxineau - Muraille Jean Myrtho, et autres. Actuellement, les journalistes sont-ils devenu gênants ? Il suffit de rapporter des faits qui ne respectent les principes, de publier des images prises lors d'évenement public, de donner le micro sans parti-pris ou mentionner le nom du président Jovenel Moïse pour être agressé par des civils armés habillés en policier ou militants du pouvoir PHTK.
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=148291359915071&id=102340197843521
Il est plus capital pour que les journalistes victimes ou leurs proches ne gardent pas le silence. Il faut briser le cercle du silence. Je profite pour dire que moi aussi, j'ai été agressé verbalement par un militant à Fort-Liberté lors d'un micro-trotoir sur le fonctionnement des établissements scolaires. Reporter les incidents à qui de droit est une arme pour dissuader les prédateurs de la presse car avec la crise polique qui perdure, les journalistes subissent beaucoup de pression et sont pris pour cibles par ceux qui ne veulent pas l'information parvienne à la population
Ces incidents, aussi malheureux soient-ils, ne doivent pas servir de barrière à l'exercice du métier car les journalistes jouent un rôle déterminant dans la lutte contre la corruption, l'impunité et les violations des droits humains. Sans la médias et les journalistes il ne peut pas y avoir de société soudée pour le bien-être de toutes et de tous.
Henri-Robert PIERRE-LOUIS
En Haïti, l'on se souvient de quelques organisations non gouvernementales qui militent en faveur des droits de la presse, de la liberté d’expression et de la protection des journalistes : Reporters Sans Frontières RSF - Fédération Internationale des Journalistes FIN - Association des Journalistes Haïtiens AJH - SOS Journalistes - Association Nationale des Médias Haïtiens ANMH - etc.
Ces associations ont vu le jour en fonction des difficultés auxquelles font face les journalistes et les médias. Elles aident à renforcer le 4éme pouvoir que constitue la presse dans toute démocratie. Des journalistes ont marqué la lutte pour la liberté d'expression en Haïti : Jean Dominique - Lilianne Pierre Paul - Marvel Dandin - Pierre Clitandre - Anthony Pascal - Alix Joseph - François Latour - etc.
La liste des journalistes victimes n'a pas cessé de s'allonger : Vladjimir Legagneur - Rospide Pétion - Néhémie Joseph - Jacquelin François - Renald Petit Frère - Gerard Maxineau - Muraille Jean Myrtho, et autres. Actuellement, les journalistes sont-ils devenu gênants ? Il suffit de rapporter des faits qui ne respectent les principes, de publier des images prises lors d'évenement public, de donner le micro sans parti-pris ou mentionner le nom du président Jovenel Moïse pour être agressé par des civils armés habillés en policier ou militants du pouvoir PHTK.
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=148291359915071&id=102340197843521
Il est plus capital pour que les journalistes victimes ou leurs proches ne gardent pas le silence. Il faut briser le cercle du silence. Je profite pour dire que moi aussi, j'ai été agressé verbalement par un militant à Fort-Liberté lors d'un micro-trotoir sur le fonctionnement des établissements scolaires. Reporter les incidents à qui de droit est une arme pour dissuader les prédateurs de la presse car avec la crise polique qui perdure, les journalistes subissent beaucoup de pression et sont pris pour cibles par ceux qui ne veulent pas l'information parvienne à la population
Ces incidents, aussi malheureux soient-ils, ne doivent pas servir de barrière à l'exercice du métier car les journalistes jouent un rôle déterminant dans la lutte contre la corruption, l'impunité et les violations des droits humains. Sans la médias et les journalistes il ne peut pas y avoir de société soudée pour le bien-être de toutes et de tous.
Henri-Robert PIERRE-LOUIS
Bon travail confrère Bob
RépondreSupprimerles journalistes subissent beaucoup de pression et sont pris pour cibles par ceux qui ne veulent pas l'information parvienne à la population
RépondreSupprimerC'est vraie
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe croirais vraiment à la liberté de la presse quand un journaliste pourra écrire ce qu'il pense vraiment de son journal. Dans son journal.
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